Petit Tondu : Wagram!
Les boites de figurines....y a pas tout...
Encore des marqueurs d'unités....on dirait du Hach...
Ce qu'on a prévu de faire ...Bientôt avec le Vicomte....LA!
La Suite...SVP!!
Les boites de figurines....y a pas tout...
Encore des marqueurs d'unités....on dirait du Hach...
Ce qu'on a prévu de faire ...Bientôt avec le Vicomte....LA!
La Suite...SVP!!
Fanfare du 8ème hussard d'altkich
Encore une expression de ma tendre marquise...Mais çà... c'était avant le chat et les douze épisodes de séries policières à la suite le soir!! Hélas...
Voici donc les miens avec le régiments de lanciers de la garde...Tenue bleue de campagne au lieu du blanc de grande tenue...
Une ressemblance de couleur d'uniforme avec les uhlans prussiens qui leur jouera des tours...
Deux régiments de hussards sont restés prudemment en selle, le dernier a démonté pour faire le coup de feu...Les figurines n'existant pas, j'ai pris des figurines de la même marque old glory mais dans la gamme guerre de sécession...Et franchement, çà le fait!!
Mes lanciers de la garde, paient pas de mine en tenue de campagne mais la tenue doit être avant tout pratique et confortable.
Je leur adjoindrai les dragons de la garde avec lesquels ils formaient une des brigades de cavalerie de la garde sous Napoléon III.
Je ferai d'autres unités démontées, encore du hussard et des dragons pour les français, des dragons pour les prussiens.
A cheval!!!
LA SUITE!...SVP!
Eh oui, c'est dans ces termes un peu cru que la Marquise me parle parfois quand nous sommes dans notre noble couche...De moins en moins hélas...Huummm...
Mais ici n'est pas le propos!!!!! Avec une charge terrible et féroce qui oppose des dragons prussiens à leurs homologues français.
De solides gaillards qui, sans avoir la renommée de leurs lourds frères d'acier les cuirassiers, ont oeuvré plus que tous autres, à la gloire de la cavalerie!!
Trois régiments de dragons de chaque côté, futurs acteurs de la dernière grande charge de cavalerie en europe. Et elle a eu lieu en France Messieurs!
Cette dernière charge massive qui a vu s'opposer plus de 7 000 cavaliers sera d'ailleurs le thème de notre future partie
sur la règle "they died for glory"!!
LA SUITE...SVP!!!
CCCHHHAAAAARRRGGGGEEEZZZZZZ!!!!!!!
Un peu de peinture après la tapisserie de la véranda... du train d'artillerie et de la cavalerie à pied...ou démontée comme bon vous semble...
J'ai eu pitié de cette pauvre cavalerie qui se faisait massacrer aux quatre coins de la table de jeu et qui encombrait plus qu'autre chose...
2 régiments pourront éventuellement mettre pied à terre et servir d'infanterie volante, du dragon côté prussien et du hussard côté français...
Comme les figurines n'existent pas en 15mm, j'ai décidé de prendre du fantassin prussien auquel j 'ai raccourci le fusil car ils étaient armés de petites carabines...J'aurais bien voulu faire également du dragon français mais à part décapiter mes cavaliers pour les mettre sur un corps de...(quoi d'ailleurs?)Je vais voir si je ne peux pas trafiquer du dragon Napo à pied car la figurine existe..
Par contre pour les hussards, j'ai simplement récupéré de la cavalerie nordiste démontée...çà devrait le faire.
Vous allez me dire..On les a pas vu souvent démonté les cavaliers en 1870...Oui, certes, mais il y a eu quelques exemples...
Donc j'ai le droit! NA!!!
bon, et puis c'est pas douze figurines qui changeront le cours de la bataille mais au moins elles serviront à quelque chose:
Occuper un bâtiment avant l'infanterie, tenir une position avancée, soutenir l'infanterie...Des trucs utiles quoi!
A noter que les prussiens tiraient même en selle parfois pour recevoir une charge...Les français préférant charger direct!!
CHAAAARRRGGGEEEZZZZ!!!
Et une dizaine d'attelages d'artillerie pour mieux visualiser les mises en batterie.. Et puis c'est joli sur un champ de bataille.
Voilà, ce sera mon plateau de peinture pour le mois de mai mes amis.
LA SUITE...SVP!!!
Retour sur cette petite bataille pour donner mon opinion d'arbitre sur la règle et la partie de samedi.
La règle en elle même: il faut scrupuleusement suivre les phases de jeu, c'est essentiel. Le ou les tirs des uns doit se faire pendant le mouvement des autres et inversement. L'unité qui charge ne peut pas être prise pour cible si l'unité chargée contre charge elle-même.
Les faits de jeu: Les erreurs prussiennes: Malgré une supériorité numérique de deux contre un les prussiens ont échoué à conserver la gare, pourquoi cet échec? Je pense que les renforts prussiens auraient du être dirigé aux abords directs de la gare au lieu de se présenter à gauche pour se positionner derrière le remblai de la ligne de chemin de fer (photo ci-jointe). Ils étaient trop loin de la gare et ne pouvaient pas soutenir les défenseurs de leur feu.
De plus, ils auraient pu ainsi positionner des unités de réserve derrière la gare pour contre attaquer et la reprendre si besoin. L'artillerie aurait pu alors franchir le remblai à cet endroit sous la protection des troupes d'infanterie qui auraient sécurisé la zone autour de la gare.
Les prussiens ont peu ou pas tiré avec leur infanterie, ils ont préféré engager le combat directement, ce qui n'est pas une mauvaise option quand on est bien appuyé par l'artillerie comme c'était le cas.
Utilisation de l'artillerie: Il faut concentrer les feux, le tir de deux ou trois batteries sur les bâtiments a fait fuir les chasseurs à pied et annihilé complétement les défenseurs de la gare. C'est la grande force des prussiens. Par contre, il est suicidaire de vouloir se mettre en batterie à portée des chassepots.
Les uhlans: lancés trop en avant, ils n'ont du leur salut qu'au remblai... La cavalerie doit être gardée en réserve hors de portée des canons. Je prépare un additif à la règle pour que la cavalerie légère et les dragons puissent tirer et ou démonter. Mais cela restera l'unité la plus fragile du jeu.
Les français: Ils ont beaucoup souffert de l'artillerie mais le remblai les a largement protégé. Attention de ne pas se positionner trop vite dans les maisons, il vaut mieux attendre à l'abri derrière et y entrer lorsque l'ennemi arrive.
Les mitrailleuses doivent être dissimulées à l'abri de l'artillerie et tirer en défilement. c'est également un élément très fragile du jeu. L'artillerie française doit rester hors de portée de la prussienne, quitte à reculer.
Enfin, la cavalerie française aurait du rester plus en retrait vers l'arrière, il est illusoire de vouloir s'approcher d'une ligne de fantassins protégés par un remblai même si c'est pour charger la batterie. Les tirs de chassepots sont bien plus efficaces.
La partie: On voit bien que même avec trois joueurs de chaque côté, il est difficile d'aller au delà d'une quinzaine d'unités de chaque bord. Mais c'est une règle tactique. Il est inutile de surcharger la table et cela oblige à être prudent avec ses troupes.
Si vous avez d'autres remarques ou suggestions, n'hésitez pas à en faire part.
LA SUITE...SVP!!
Petite partie aux hussards d'Isengard hier avec la règle 1870 "they died for glory"..."Le dernier train pour Sedan", un pastiche de ma part sur un scénario trouvé sur le forum de la règle agrémenté à ma sauce. A noter que nous étions sept autour de la table, çà sent le renouveau des jeux d'histoire aux hussards!!
Le but pour le prussien est de couper la ligne de chemin de fer et pour les français de la tenir ouverte, cet objectif étant matérialisé par l'occupation de la gare par un des deux camps. Et inutile de vous dire que le français s'y retranche tout de go avec un solide bataillon.
Les chasseurs prussiens, seuls présents en avant garde, se lancent sans peur sous les balles des chassepots de leurs homologues français retranchés intelligemment dans une maison forestière placée de l'autre côté du talus du balast. ...sans succès... ils perdent même la moitié de leur effectif dans la mêlée. Déroute!!
La gare ressemble à un brasier de l'enfer...les coups partent de toutes les ouvertures sur les grenadiers poméraniens qui montent à l'assaut.
Des renforts, à l'entrée décidée aléatoirement par des jets de dé, arrivent au fur et à mesure...Ils sont très conséquents côté prussiens.
Un pauvre régiment de uhlans lancé un peu imprudemment en éclaireur se réfugie derrière le talus de la voie ferrée...Il faudra vraiment faire quelque chose pour cette pauvre cavalerie.
Enfin, les grenadiers arrivent à portée de charge... un des deux bataillons refuse d'attaquer et... gardera les toilettes jusqu'à la fin de la campagne en guise de punition.
Néanmoins le deuxième bataillon attaque et emporte la position. La gare est prise!!!
Ecrasés sous les obus, les chasseurs doivent quitter la maison forestière et repasser le talus du côté français...
La cavalerie française arrive...On aurait préféré les zouaves qui eux ont raté leur tour d'entrée...
Et un tour sans faire le zouave...c'est long! Aïe!! çà va mal pour les français!!!
Surtout que les renforts prussiens arrivent au talus et montent une batterie sur la voie...qui se fait immédiatement détruire par les tirs de mitrailleuse et de chassepot...
Cependant l'artillerie française commence à décimer les défenseurs de la gare....Les grenadiers restent isolés...Ach!! C'est Tur!!!
Et finalement, après deux charges successives, le français reprend la gare aux grenadiers!! Teuffel!!!
Pour le prussien, tout est à refaire..Nous arrêtons la partie faute de temps.
Néanmoins le résultat est clair: Victoire française! Le dernier train pour Sedan passera!
Apparemment tout le monde s'est amusé avec finalement assez peu de figurines mais avec une bonne immersion des joueurs.
J'ai encore quelques progrès à faire en tant qu'arbitre mais je n'avais pas eu le temps de tester le scénario avant et c'est ma troisième partie sur cette règle.
Scénario à refaire en inversant les joueurs la prochaine fois ou en attaquant avec les français.
La Suite!...SVP!
Mais le plus gros des effectifs est quand même le camp prusso-bavarois avec 11 brigades ou régiments et 4 bataillons de chasseurs...çà fait du monde à re-socler. Gasp!!
La petite artillerie bavaroise...19 batteries...pourquoi pas 20? ben en faite il en fallait dix neuf pour rejouer Coulmier à Age of Valor. Donc pour They died for Glory, j'en ai trop...et avec la puissance des batteries à cette règle, je n'ose imaginer les pertes en face.
La cavalerie bavaroise, 2 cuirassiers et un chevau léger; un de plus à faire.
L'infanterie d'une division. Ca suffit je pense. Je ferai plutôt un contingent wurtembergeois en renfort.
Le prussien maintenant: l'artillerie est suffisante pour équiper un corps de deux divisions. Reste juste un régiment supplémentaire à faire pour arriver à huit régiments.
La cavalerie est déjà conséquente mais je pense doubler les régiments de cuirassiers et de dragons, il y avait beaucoup de régiments de dragons et de uhlans. Des régiments de cavalerie étaient présents au niveau de la division d'infanterie à raison d'un régiment par division, soit 2 régiments par corps plus les divisions de cavalerie attachées aux armées .
L'état-major aura encore besoin d'un ou deux généraux de brigade en plus.
La SUITE...SVP!!
Le Régiment de Sambre et Meuse
Ouf, enfin!
Après trois jours sous tente à oxygène pour intoxication sévère à la cyanolite et un arrachage de peau des doigts qui m'a rendu suspect dans tous les aéroports d'europe, je touche au but: J'ai enfin terminé le re-soclage de mes unités d'infanterie pour la règle 1870: they died for Glory (avec un G majuscule pour Glory)...c'est fini , terminé. (je ne refais pas les cavaliers ni l'artillerie).
Tout d'abord les gardes mobiles: cela fera 4 régiments à 3 bataillons. Je pense en faire deux autres.
Une ligne de chasseurs, j'en ferai surement deux autres, un bataillon pour chacune des trois divisions de mon corps.
Ce sera un corps hybride qui correspondra à 3 divisions du 1er Corps qui en comptait 4. C'est le plus beau des corps français avec ses zouaves et turcos.
Quelques franc-tireurs, je ferai au moins un autre petit bataillon. A la différence de la ligne, ces unités sont soclées par trois au lieu de quatre pour simuler leurs faibles effectifs (chaque figurine correspond à 50 fantassins), idem pour les chasseurs à pied.
Artillerie et mitrailleuses, j'en ai beaucoup moins à peindre que pour "Age of Valor" où il en faut des caisses pour une valeur de combat faible, tout le contraire de they died for glory...YES!
La ligne: quatre régiments pour l'instant, j'en ferai au moins deux autres pour la troisième division.
Les zouaves et les turcos, les troupes d'élite et tout le "romantisme" d'une armée française haute en couleur, j'en ferai deux autres, une de chaque.
La cavalerie: 5 régiments que je vais dédoubler...pour le fun vu leur efficacité.
Et pour finir le général de corps, me manque un divisionnaire et quelques généraux ou colonels pour commander les nouvelles brigades.
Voilà pour les français, Je ferai sûrement une brigade de la garde en plus.
Demain: prussiens et bavarois. Eux aussi sont terminés...Enfin pour le re-soclage.
Samedi, partie d'initiation aux hussards d'Isengard sur cette règle...Un compte rendu suivra.
La Suite- SVP!!
Méga partie sur la règle volley and bayonets au club de Bruz "Les hussards d'Isengard" en ce bel après midi ...juste avant la victoire de Rennes en coupe de France... et nous n'étions que quatre joueurs pourtant...Comme quoi une bonne préparation et une bonne connaissance des règles, çà fait avancer le bouzin.
Au programme, la bataille de Zorndorf entre les troupes prussiennes de Frédéric II et les troupes Russes commandées par le comte Graf Von Fermor;
Celui ci ayant trouvé qu'il avait un truc plus important à faire que de commander son armée, quitta le champ de bataille en début d'après midi et laissa ses subordonnés se débrouiller; ce qu'ils firent très bien, obtenant un match nul plus qu'honorable.
Voici pour l'histoire, mais revenons à notre partie...un déploiement historique imposant qui laisse peu de choix quand à une manoeuvre qui tournera autour du bois central ...comme un tourniquet.
37 000 prussiens face à 46 000 russes . L'affaire n'est pas acquise...Le Vicomte et moi prenons les prussiens, nos deux camarades Bruziens les russes.
Heureusement, les figurines sont du 10mm (pendraken) mais même à cette échelle, la place pour manoeuvrer se fait rare...il faut se bousculer pour avancer et évidemment on se gêne.
Fait cocasse mais somme toute assez logique vu la configuration du terrain, chacun décide de refuser son flanc gauche et d'attaquer avec son flanc droit dans le sens inverse des aiguilles d'une montre dont le centre serait le bois central...le Stein Busch...
Le vicomte se charge de bétonner à gauche face à la cavalerie russe tandis que j'avance résolument face au corps d'observation russe qui se replie prudemment. Le russe attaque de même avec sa ligne sur notre gauche: quatre belles divisions de mousquetaires et grenadiers.
Tout le monde tourne autour du bois...
A la poursuite d'octobre rouge... je les serre de près mais je n'arrive pas à les rattrapper car j'avance à la vitesse de mes canons ...J'aurais dû tenter l'assaut sur son infanterie...regrets... Je le pousse si loin qu'il est contraint au bord de la table de jeu, sa cavalerie me retarde en me repoussant brillamment derrière un ruisseau qui me met automatiquement en désordre quand je le traverse...Ma cavalerie finit par lâcher pied... et mon éternelle chance aux dés...Grrr!!
Pendant ce temps, sur la gauche, le vicomte fait des merveilles avec sa cavalerie et m'évite de prendre les renforts russes sur mon flanc gauche...Je n'aurai pas une deuxième chance...Il faut y aller. J'attaque!
C'est sans compter sur ces fichus cosaques qui me chargent de flanc...je m'en débarasse mais perds encore du temps...
Enfin, j'y vais...mais trop tard..le corps d'observation russe est prêt à me recevoir et frappe avec deux fois plus de dés que mon infanterie...Je suis violemment repoussé...
A gauche, çà tourne mal et ma division laissée en couverture pour couvrir mon flanc part en déroute malgré tous les efforts de la brillante cavalerie du vicomte dont le régiment des cuirassiers de la garde...Mais même la garde ne peut pas tout.
Mon flanc gauche attaqué et étant trop faible pour espérer finir par enfoncer le corps d'observation, l'armée prussienne doit s'avouer vaincue ...
Le tourniquet, on l'a pris dans la figure...
Victoire russe!!! Vodka!!!
La suite...SVP!!!
Après bien des hésitations, j 'ai finalement décidé de sauter...le pas et de re-socler entièrement mes unités d'infanterie guerre de 1870.
Celles ci étaient soclées "Age of valor" mais à moins d'une hypothètique partie au fin fond de la Creuse, nous ne jouerons plus à Age of Valor mais à "they died for glory" avec le Vicomte...et en plus çà nous plait!!
Evidemment y a du taf!! Re-socler l'équivalent d'un millier de figurines n'a jamais été une partie de plaisir...Entre les arrachages accidentels de drapeaux et de jambes et l'intoxication à la colle cyanolite...
Les socles prévus par la règle sont très différents des socles carrés d'Age of Valor, ils sont plus longs pour figurer les formations plus diluées de 1870, ce qui entraînait des difficultés pour visualiser les formations de combat durant la partie.
Il faut également que je complète certaines unités car on passe du niveau brigade au niveau bataillon. Mes deux corps prussiens n'en font plus qu'un seul puisque une brigade ne représente plus qu'un régiment.
Heureusement, l'artillerie et la cavalerie peuvent conserver le même soclage. C'est déjà çà!!!
La Suite...SVP!!
Königgrätzer Marsch
Deuxième partie de notre week end ludique avec cette fois une partie sur la règle Blücher de Sam Mustafa. Avec un spécialiste de la règle en la personne de son Altesse, L'archiduc Tizizus. Cette règle est l'inspiratrice de la règle petit tondu que nous pratiquons régulièrement.
Donc, retour aux sources avec du français et ...du prussien 1806 aux uniformes magnifiques. L'Archiduc et le Vicomte se chargeant de commander les troupes prusiennes, Le Prince Lulu et moi même manoeuvrant les français, deux belles divisions d'infanterie et une division de cavalerie lourde pour notre part et un allié saxon pour les prussiens avec moult grenadiers et cuirassiers.
Déploiement caché, les troupes se dévoilant à 40 cms de l'ennemi.
Trois objectifs à prendre...Le français commandé par Napoléon himself passe à l'attaque! Les deux objectifs prussiens se situant dans un bois et dans un terrain difficile (champ labouré) attenant à un village. Nous décidons de nous charger chacun d'un objectif, la cavalerie lourde restant en réserve. Plan simpliste qui s'avérera ... euh...simpliste.
Chacun se jette sur son objectif qui a, par ailleurs, déjà été prestement occupé par un prussien défensif mais coriasse avec d'excellentes troupes. A Blücher, les troupes sont souvent de force égale, il n'y a pas de différences marquées entre nationalité.
La différence se fait sur la qualité du commandement et la bonne utilisation du terrain et des réserves. Comme souvent dans la réalité en faîte..
Les tentes blanches matérialisent les objectifs à atteindre. Le français se casse les dents sur le village. aïe!
Dans le bois, après un succès initial, le français se fait repousser, c'est le statut quo. Tout le monde campe. Cela ne bougera plus beaucoup jusqu'à la fin de partie.
Dans le village, ce sont maintenant les saxons qui ont pris la relève face aux français, nous décidons de lancer notre réserve pour emporter l'objectif et gagner la bataille. Deux brigades de cuirassiers et deux brigades de dragons se jettent en avant. Chargez!!!
La cavalerie prussienne se positionne pour bloquer les français. Les pertes sont lourdes et les points de moral diminuent dangereusement.
Chaque perte d'unité coûte un point de moral. Les prussiens replient prestement leurs unités épuisées. A Blücher, les unités retirées volontairement de la table ne comptent pas dans les pertes jusqu'à en avoir plus de sorties que d'unités présentes sur le terrain.
Un moment pris par la charge des cuirassiers français, les prussiens, qui avaient gardé du grenadier en réserve, réoccupent l'objectif près du village et ne le lacheront plus. N'ayant pas réussi à prendre les objectifs prussiens, le français n'a plus d'autre choix que de casser le moral prussien avant le dernier tour sinon il perd.
C'est le dernier tour, les cuirassiers ont traversé toute la ligne prussienne mais n'arrivent pas à rattrapper les troupes ennemies épuisées qui s'enfuient et restent hors de portée des lattes françaises.
A un point de moral près, c'est le prussien qui l'emporte!
Victoire prussienne.
A noter que c'est la deuxième victoire prussienne du week end, que contrairement aux autres participants qui ont au moins remporté une bataille, je n'ai jamais gagné ce week end...sniff!
le grand vainqueur est le vicomte JJ qui a été vainqueur aux deux batailles. Bravo Vicomte!!
La Suite! ...SVP!
Petite partie navale en jeu apéritif, toujours ce week end...Le Vicomte JJ, l'embrouilleur des caraïbes, la terreur des ports de plaisance, le pirate de mers du sud du golfe du Morbihan... dans ses oeuvres...
Vous remarquerez avec quel talent il est arrivé à s'emberlificoter avec le navire français puis à échouer tout le bazar sur les rochers...Plusieurs phoques seraient morse de rire ...
La Suite!...SVP!
Preußens Gloria
Cette semaine, j'avais donné rendez vous en mon château pour un de ces week end ludiques dont nous avons pris l'habitude...
Il n'y avait là que du beau linge et de la dentelle fine: Le Prince Lulu, l'Archiduc Tizizus, le Vicomte JJ et votre serviteur...
Etant l 'invitant, je proposais à l'appétit royal de mes distingués hôtes un samedi de guerre et dentelles avec la splendide règle de Sam mustafa: Might and reason, et un dimanche consacré au napoléonien avec la non moins excellente règle Blücher du même auteur.
Pour la partie du samedi, je montais un scénario autour de la bataille de SOOR en 1745, une bataille de la guerre de succession d'Autriche. Hélas, déjà à l'époque, les places au conseil d'administration étaient réservées aux hommes et Maria Thérésa ne pouvait donc pas être Impératrice règnante pour ses nombreux mysogines voisins..et notamment ce brave Frédéric II...
Une petite carte empruntée sur le remarquable site '"obscures battles" nous permet de constater, qu'une fois de plus, le commandement prussien a su concentrer ses forces alors que les autrichiens sont largement étalés...Et c'est tant mieux pour les prussiens qui sont deux fois moins nombreux...
Petits certes, mais costaux...Points de Force 9, 8 rien en dessous de 7...Alors que les meilleures unités autrichiennes commencent à 7...
Si vous ajoutez à cela un général en chef prussien brillant et un général autrichien médiocre, vous vous rendez compte rapidement que les forces s'équilibrent.
La prise du Graner Koppe pourrait coûter trois points de morale au autrichiens sur un total de 12.
Pour l'Etat-Major Autrichien, c'est à dire l'Archiduc et moi même, les ordres sont clairs: pêter la gueule de la cavalerie prussienne à gauche, ramener l'aile droite au centre et serrer les fesses sur la colline centrale....
Et c'est parti!! la cavalerie autrichienne se jette à deux contre un sur les cuirassiers prussiens à l'aile gauche...
Au centre, les vagues bleues commencent à lécher le pied de la colline...
A droite, avec le peu de points d'activation disponibles offerts par notre incapable général et avec la vitesse d'un escargot rhumatisant..., l'autre moitié de l'armée remonte vers le centre en poussant devant elle l'écran de cavalerie prussienne. Arriveront-ils à temps? pourrons-t-ils soulager les défenseurs de la colline? pourrons-t-ils écraser la gauche ennemie? restera-t-il de la glace pour le dessert ? des doutes terribles nous assaillent...
A gauche, les cavaleries se fritent joyeusement à grand coup de lattes...Mais le prussien fait mieux que se défendre et notre première brigade est repoussée!
Sur la colline, les troupes prussiennes, après quelques revers, emportent les défenses et prennent pied sur le sommet.
Les généraux prussiens exultent...Le vicomte se gausse...Ach!!! Zer Gütte!!
Le prussien borde maintenant l'autre versant...Les saxons se sentent d'un seul coup...tout petits face aux immenses grenadiers de Frédéric...çà va mal pour nous...Et cette droite qui n'arrive pas...
Enfin, celle -ci arrive à portée de mousquets et les habits bleus commencent à tomber en masse sous la pression conjointe de l'infanterie et de la cavalerie qui charge de flanc toute la ligne prussienne.
Mais il est malheureusement trop tard...La colline est solidement tenue par nos adversaires qui ont également isolé notre flanc gauche..Nous sommes coupés en deux et les pertes sont lourdes...Le niveau de démolarisation est atteint pour l'autrichien...Nous devons nous replier... Ach!!! Krieg Gross Malheur!!
Victoire prussienne!
La Suite...SVP!!!